La Bible en ses Traditions

Sagesse 8,0 ; 11,1–12,27

G V
S

Elle guida heureusement

Vdirigea leurs œuvres par la main

Vles mains d’un saint prophète.

...

Ils traversèrent

Vfirent route à travers un désert inhabité

Vqui n'était pas habité

et dressèrent leurs tentes dans des [lieux] impraticables

Vlieux secrets.

...

Ils résistèrent aux adversaires et repoussèrent les ennemis.

...

Ils eurent soif et t'invoquèrent

et l’eau leur fut donnée d’un rocher escarpé

et un remède à

Vl'apaisement de la soif d'une pierre dure.

...

Car ce par quoi leurs ennemis furent châtiés

Vsouffrirent des châtiments

par cela-même, étant

Vcomme ils étaient dans le besoin, ils reçurent des bienfaits.

...

G
V
S

Au lieu de la source intarissable d’un fleuve troublé par un sang putride

Au lieu de la source intarissable d’un fleuve tu as donné aux injustes du sang humain

...

en punition du décret d'infanticide

tu leur as donné contre tout espoir une eau abondante

et comme ils diminuaient en punition des enfants tués

tu leur as donné contre tout espoir une eau abondante

...

G V
S

montrant par la soif d'

Vqui fut alors 

comment tu châtiais les

Vrelevais les tiens et faisais mourir leurs adversaires.

...

Car quand ils furent éprouvés — quoique punis

Vrecevant une punition avec miséricorde —

ils surent comment étaient suppliciés

Vrecevaient des supplices les impies jugés dans la colère.

...

10 Tu as mis à l'épreuve les uns comme un père qui avertit

et tu as interrogé

Vcondamné les autres comme un roi sévère qui condamne

Vinterroge.

10 ...

11 Absents ou présents, ils furent également torturés.

11 ...

12  Un double chagrin les saisit

et un gémissement au souvenir de ce qui était arrivé.

12 ...

13 Car quand ils apprirent

Gapprenant que par leurs propres tourments

ceux-là tiraient des bienfaits, ils s'aperçurent

Vse souvinrent du Seigneur.

13 ...

14 Car celui qu'autrefois jeté en Vcruelle exposition ils refusèrent en le raillant

Vraillèrent

ils l’admirèrent à la fin des événements

ayant eu une soif non semblable à celle des

Vne faisant pas semblablement aux justes.

14 ...

15 À cause des pensées extravagantes de leur injustice

V— leurs injustices —

par lesquelles égarés ils vénérèrent des reptiles sans raison

Vmuets et de viles

Vd'inutiles bestioles

tu leur envoyas une multitude de bêtes sans raison

Vmuettes en vengeance

15 ...

16 pour qu'ils sachent que l’on est châtié par où l’on a péché.

16 ...

17 Car il n’était pas impossible que ta main toute-puissante

qui avait créé l'univers

Vle cercle des terres d’une matière informe

Vinvisible

envoyât contre eux une multitude d’ours ou des lions féroces

17 ...

18 ou des bêtes pleines de fureur nouvellement créée

Vd'un genre nouveau et inconnues

expirant une vapeur enflammée

dispersant une infection

Vproduisant une odeur de fumée

ou lançant par les yeux de terribles étincelles

18 ...

19 dont non seulement le dommage [qu'elles causent] pouvait les anéantir

mais encore dont l'aspect terrifiant

Vpar la frayeur pouvait les détruire.

Vtuer.

19 ...

20 Et, sans cela même, ils pouvaient être tués d'un seul souffle

poursuivis par la justice

Vleurs propres faits

et dispersés par le souffle de ta puissance.

Mais tu as tout disposé avec mesure, en nombre et avec poids.

20 ...

21 Car déployer une grande force t'est toujours possible

Vsurabonde toujours pour toi seul

et qui résisterait à la puissance de ton bras ?

21 ...

22 L'univers entier

VLe cercle des terres est devant toi comme le poids infime Gqu'on retire des plateaux de la balance

comme la goutte de rosée matinale qui descend sur la terre.

22 ...

23 Mais tu as pitié de tous parce que tu peux tout

et tu fermes les yeux sur

Vdissimules les péchés des hommes en vue du repentir.

23 ...

24 Car tu aimes tout ce qui existe

et tu ne ressens de dégoût pour rien de ce que tu as fait

car si tu avais haï quelque chose, tu ne l’aurais pas créée.

24 ...

25 Et comment quelque chose subsisterait-il, si tu ne le voulais pas

ou ne se conserverait-il pas, si tu l'as appelé à l’existence ?

25 ...

26 Mais tu épargnes tout parce que tout est à toi Seigneur ami de la vie.

26 ...

12,1 Car ton esprit incorruptible

Vbon est en tous.

...

12,2 C’est pourquoi tu châties peu à peu ceux qui tombent

Vs'égarent

et leur rappelant

Vles avertissant quant à ce en quoi ils péchent, tu les avertis

Vexhortes

afin que renonçant à leur méchanceté ils croient en toi Seigneur.

...

12,3 Car haïssant les anciens habitants de ta terre sainte

...

12,4 par ce qu'ils faisaient de détestables œuvres

Vpar de sortilèges et de rites d'initiation impies

Vsacrifices injustes

...

G
V
S

12,5 les meurtres impitoyables d'enfants

le banquet des dévore-entrailles de chairs humaines et de sang

les initiés au milieu du festin

les meurtriers sans miséricorde de fils

les dévoreurs de viscères humaines

et la dévoration de sang loin du milieu de tes mystères

...

G V
S

12,6 les parents assassins

Vgarants de vies sans défense

tu as voulu les détruire par la main de nos pères

...

12,7 afin que reçût une digne colonie d’enfants de Dieu

la terre la plus précieuse de toutes selon toi.

...

12,8 Cependant tu les as épargnés parce qu'ils étaient des hommes

et tu as envoyé, comme avant-coureurs de ton armée, des frelons

pour les faire périr peu à peu.

...

12,9 N'étant pas incapable, dans la bataille

VNon que tu n'étais pas capable, dans la guerre, de faire tomber ces impies sous la main des justes

ou de les exterminer d’un seul coup par des bêtes féroces ou par une parole brusque

...

12,10 mais punissant par degré tu leur donnais l'occasion du repentir

quoique n'ignorant pas que leur lignée

Vnation était perverse

que leur méchanceté était innée

et que leurs pensées ne pourraient changer dans l'éternité

10 ...

12,11 car c’était une race maudite dès le commencement.

Ce n’est pas non plus par crainte de quelqu'un que tu as donné l'impunité

Vdonnais le pardon pour ce en quoi ils ont péché

Vleurs péchés.

11 ...

G
V
S

12,12 Car qui dira : — Qu’as-tu fait ?

Qui s’opposera à ton jugement ?

Qui t'accusera de faire périr les nations que tu as faites ?

Qui viendra pour t'apporter l'apaisement comme défenseur d’hommes injustes ?

12 Car qui dira :  — Qu’as-tu fait ?

Qui s’opposera à ton jugement ?

Qui viendra à ta vue en défenseur d'hommes injustes ?

Qui t'accusera de faire périr les nations que tu as faites ?  

12 ...

G V
S

12,13 Car il n’y a pas d’autre Dieu que toi qui prends soin de tout

afin de montrer que tu n'as pas jugé injustement.

13 ...

12,14 Il n’y a ni roi ni tyran Vdevant ta face

qui puisse te résister

Vdemander des comptes quant à ceux que tu as châtiés

Vfait périr.

14 ...

12,15 Mais,

VPuisque donc tu es juste, tu gouvernes tout justement

et tu regardes comme étranger à ta puissance

Vforce de condamner celui qui ne mérite pas de châtiment

Vdoit pas être puni.

15 ...

12,16 Car ta force est le commencement de la justice

et que tu domines

Vdu fait que tu es le Seigneur de tout

fait

Vtu fais que tu épargnes tout.

16 ...

12,17 C’est à ceux qui ne croient pas à l'accomplissement de ta puissance

Vforce que tu montres ta force

et tu confonds l’audace en ceux qui la connaissent.

17 ...

12,18 Toi, maîtrisant

Vmaître de la force, tu juges avec douceur

Vtranquilité

et tu nous gouvernes avec beaucoup d'indulgence

car le fait de pouvoir est avec

Vpouvoir dépend de toi quand tu le veux.

18 ...

12,19 Tu as appris à ton peuple par cette conduite

qu'il faut que le juste soit humain

et tu as fait à tes fils bonne espérance

de donner le

V, en jugeant, l'occasion du repentir pour les péchés.

19 ...

12,20 Car si tu as puni

Vsupplicié avec tant de ménagement

les ennemis de tes enfants

Vserviteurs qui étaient dignes de mort et les as sauvés

leur donnant le temps et l’occasion

par lesquels ils pussent se détourner

Vconvertir de leur méchanceté,

20 ...

12,21 avec quelle précision as-tu jugé tes fils

aux pères desquels tu as donné des serments et des alliances de bonnes promesses !

21 ...

12,22 Quand tu nous corriges

Vdonnes une correction, donc, tu flagelles nos ennemis mille fois plus fort

pour que, quand nous jugeons, nous méditions ta bonté

et que, quand nous sommes jugés, nous espérions ta miséricorde.

22 ...

G
V
S

12,23 C'est pourquoi, ceux qui ont vécu une vie de manière injuste dans la folie

tu les as tourmentés par leurs propres abominations.

23 C'est pourquoi, ceux qui ont vécu dans leur vie de manière injuste et insensée

tu leur as infligé de très grands tourments par ce qu'ils vénéraient.

23 ...

12,24 Car ils erraient si loin dans les voies de l’erreur

qu’ils considéraient comme des dieux ceux qui sont vils parmi les animaux parmi ceux qui sont méprisables

s’étant laissé tromper comme des enfants sans intelligence.

24 Car ils erraient si loin dans les voies de l’erreur

qu’ils considéraient comme des dieux ceux qui sont inutiles parmi les animaux vivant comme des enfants sans raison.

24 ...

G V
S

12,25 Aussi comme à des enfants sans raison envoyé un jugement pour dérision

25 ...

12,26 Mais ceux qui ne sont pas corrigés par une réprimande pour dérisions

Vles moqueries du reproche

expérimenteront un jugement digne de Dieu.

26 ...

G
V
S

12,27 Car ils s'indignaient, souffrant à cause d'eux

à cause de ceux qu’ils prenaient pour des dieux, étant châtiés en eux

voyant celui qu’ils refusaient autrefois de connaître ils le reconnurent pour le Dieu véritable

c’est pourquoi le comble de la condamnation tomba sur eux.

27 Car ils supportaient avec peine en ce qu'ils souffraient

ils s'indignaient, souffrant à cause d'eux

à cause de ceux qu’ils prenaient pour des dieux, comme ils étaient exterminés en eux

voyant celui qu’ils refusaient autrefois de connaître ils le reconnurent pour le Dieu véritable

c’est pourquoi le comble de la condamnation tomba sur eux.

27 ...

Réception

Liturgie

7,22–8,1 ICONOGRAPHIE RUSSE De la sagesse biblique à la « Sagesse hypostatique », au Christ et à sa Mère

Un type marial

Anonyme (russe), La Sainte Sagesse (Type de Novgorod), (tempera sur panneau de bois, fin du 16e s.)

église Saint Georges de Vologda, Russie © Domaine public→,

Sg 7,22-8,1 ; Sg 8,4-6 ; Sg 9,9-10 ; Si 1,4.9.15 ; Si 24 ; Ba 3,29-37 ; Lc 2,40 ; Lc 11,49 ; Mc 6,2 ; Mt 11,19 ; 1Co 1,17-2,13 ; Col 2,3 ; Jc 3,13-18 ; Ap 5,10

L'identification du Christ Logos avec la Sainte Sagesse (Hagia Sophia) est souvent représentée dans la tradition iconographique russe. Parmi les icônes de la Mère de Dieu (Theotokos), un type est nommé « La Sagesse a bâti sa maison », citation de Pr 9,1 typologiquement lue comme prophétie de l'incarnation, Marie étant la maison choisie pour demeure par la « Sagesse hypostatique » (c'est-à-dire la Sagesse en tant que personne de la Trinité).

Le festin des Écritures

Anonyme (russe), « La Sagesse a bâti sa maison », (tempera sur panneau de bois, ca 1548), 146 x 106 cm, icône, monastère Kirillovsky, Novgorod

Musée National Russe — 28830, © Domaine public→

 Sg 7,22-8,1 ; Sg 8,4-6 ; Sg 9,9-10 ; Si 1,4.9.15 ; Si 24 ; Ba 3,29-37 ; Lc 2,40 ; Lc 11,49 ; Mc 6,2 ; Mt 11,19 ; 1Co 1,17-2,13 ; Col 2,3 ; Jc 3,13-18 ; Ap 5,10

La composition est centrée sur une « Fête de la Sagesse » divine donnant à voir la dispensation du mystère de la Sagesse (Ep 3,8-12).

  • En bas à gauche, la « Puissance et Sagesse de Dieu » apparaît depuis les profondeurs de la « ténèbre divine », en vêtements blancs, sur le trône, entourée des rangs de la hiérarchie céleste. Elle est assise sur un trône à sept pieds (Pr 9,1), entourée de la gloire figurée par 5 sphères concentriques où sont représentés des symboles des 9 ordres angéliques. Sa tête est nimbée d'un halo bicolore à 8 pointes, formé de losanges rouges et verts. Ses sept piliers sont les sept dons de l'Esprit Saint apportés au monde par le Fils de Dieu incarné (Is 11,1-3). Ces piliers pourraient également être identifiés aux sept églises d'Ap 2,1-3,22 ou aux sept conciles œcuméniques
  • En arrière plan est peint avec force détails le festin : son échanson, deux jeunes hommes égorgeant le veau gras (cf. Lc 15,23-30), les serviteurs de la Sagesse et ceux que la Sagesse appelle à son festin. 
  • Au-dessus du festin apparaît la Mère de Dieu intronisée avec l'Enfant Jésus : image de la Sagesse incarnée. 
  • À côté d'elle, sur une tour, coupe de la sagesse en main, le roi Salomon présente un phylactère où se lit l'incipit de Pr 9. Il figure ici le « serviteur de la Sagesse » venant des collines de la Ville jusqu'à à la Theotokos avec l'Emmanuel (Pr 9,3).

12,1 Que ton esprit est bon, Seigneur ! Alleluia

« O quam bonus »

Traditionnel, Alleluia - O quam bonus

Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)

© Abbaye du Barroux→, Sg 12,1

Arts visuels

12,1 ton esprit incorruptible est en tous Liturgie cosmique

Art contemporain, 21 s.

Hubert Dolinkiewicz (1998 - ), Bo we wszystkim jest Twoje nieśmiertlene Tchnienie [Car ton souffle immortel est en tous]], (xylographie sur papier), courtesy Vera Icon→, Sg 12,1

Toute la création participe à la liturgie céléste. La composition imite la disposition des iconostases byzantins et des portes des cathédrales romanes.

12,4ss Comble de l'abomination : les parents mangeant leurs enfants La défaite des Cananéens est ici expliquée par leur pratique des sacrifices d'enfants : cf. Dt 12,29-31. C'est un objet d'épouvante qui revient en diverses circonstances au fil des Écritures. 

Horreurs de la guerre : motif récurrent dans les récits de sièges

Heinrich Merz (1806-1875), Destruction de Jérusalem (détail) (gravure, 19e s.)

Library of Congress, Washington (États-Unis) © Domaine public→

Il s'agit d'une malédiction annoncée en cas de désobéissance à l'alliance : Lv 26,22.29 ; Dt 28,53-57

Elle est réalisée lors du siège de Samarie (2R 6,26-30) et lors du siège de Jérusalem par Babylone (Lm 2,20 ; 4,10). Le motif de la mère dévorant son enfant se retrouve dans le récit du siège de Jérusalem de 70 : cf.  Josèphe B.J. 6.3.4 [201-213].

Elle est dénoncée par les prophètes (Ez 5,9).

Un rite sacrificiel offert au dieu Moloch

La même abomination en vient à caractériser le culte illicite des idoles locales : interdiction (Lv 18,21 ; 20,2-3) et dénonciation par les hagiographes et les prophètes (2R 23,10 ; Jr 32,35).

Charles Foster, Sacrifice à Moloch (gravure, 1897)

in Bible Pictures and What They Teach Us © Domaine public→

Une légende accompagne la gravure :  

« Ceci est une idole nommée Molech. Un grand nombre de personnes avaient l'habitude de prier cette idole. Il avait une tête de veau et était en laiton. Il était creux à l'intérieur. Il y avait un endroit sur le côté pour y faire du feu. Quand il faisait très chaud, les méchants mettaient leurs petits enfants dans ses bras. Les petits enfants ont été brûlés vifs là-bas. L'homme de l'image est sur le point de mettre un petit enfant dans les bras de l'idole. D'autres hommes sonnent des trompettes, battent du tambour et font beaucoup de bruit pour que personne ne puisse entendre le pauvre petit enfant pleurer. »

William Blake (1757-1827), Le vol de Moloch (stylo et aquarelle sur papier vélin, ca. 1815), 16 x 12,5 cm

Bibliothèque Huntington (États-Unis) © Domaine public→

Le diable dévoreur

Rien d'étonnant à ce que ces scènes de dévoration anthropophage soient projetées dans la représentation du mal par excellence qu'est le diable :

Dante Alighieri (Florence, 1265-Ravenne, 1321), Le diable dévoreur (enluminure, 14e s.)

Codex Altonensis, f.48r, Bibliotheca Gymnasii Altonani, Hamburg (Allemagne) © Domaine public→

Mythologie-psychologie des profondeurs : les parents mangeant leurs enfants

Saturne ou Cronos

Dans la mythologie grecque, Chronos, pour éviter que ne s'accomplisse la prédiction selon laquelle il serait détrôné par l'un de ses fils, dévore chacun d'eux à leur naissance.

Francisco de Goya (1746-1828), Saturne dévorant son fils (peinture murale à l'huile transférée sur toile, ca. 1819-1823), 143 cm × 81 cm

Musée National du Prado, Madrid (Espagne) © Domaine public→

Cette peinture fait partie de la série Black paintings que l'artiste espagnol Francisco de Goya a peintes directement sur les murs de sa maison entre 1819 et 1823.

Ce motif du parent dévorant son enfant est profondément à l'œuvre dans le récit du massacre des innocents : Hérode assassine tout petit qui pourrait lui succéder. 

Musique

10,1–11,27 La Sagesse dirige toutes les œuvres du Créateur

17e s.

Henry Purcell (1659-1695), O Lord Our Governor, Z. 39, 1679

Church Cathedral Choir, Stephen Farr, William Clements, Robert MacDonald

© Licence YouTube Standard→, Sg 10,1-11,27 Ps 8,1-10

Composition

Cette composition polyphonique à quatre voix de l'anglais Henry Purcell reprend le texte du Psaume 8. Ce texte exalte le règne du Seigneur sur toute sa création et insiste sur la Sagesse créatrice qui dirige toutes ses œuvres.