Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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14 et Adam n'a pas été séduit
mais la femme, trompée
V Nesséduite, est tombée dans la transgression
Vprévarication.
14 ...
1,1–6,21 Introduction →Timothée et Tite
1–15 Ce n'est pas Adam qui a été séduit. La faute d'Eve. Selon la tradition rabbinique, le récit de la Genèse fonde l'idée que la femme doit être soumise à l'homme :
12–15 qu'elle se tienne en silence + elle sera sauvée par l'enfantement : L'incomparable puissance de la prière d'une maman et de son enfant. Dépouillée et éteinte, cette mère semble ne faire qu'un avec son enfant. Leurs mains jointes se répondent, mais leurs regards divergent, aux pieds du Christ. Ce tableau fait un contrepoint intéressant à la théologie de la femme que saint Paul développe.
13s PERSONNAGE Adam
Cette représentation d’Adam et Ève compte parmi les premières représentations d’Adam et Ève. Placés de chaque côté de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, Adam et Ève cachent leur nudité et se tiennent tête inclinée, yeux baissés, honteux de la faute qu’ils viennent de commettre.
Parce qu'Adam a fait entrer le péché dans le monde, l'homme pécheur est assimilé à Adam.
Rapprochement entre Adam et Jésus Christ:
1,1–6,21 Jésus-Christ notre espérance
Ce motet du compositeur hollandais Jan Pieterszoon
reprend les paroles du Psaume 31. Il convient particulièrement à la permière lettre de Saint Paul à Timothée, car l'Apôtre place celle-ci dès son commencement sous l'adresse de « Jésus-Christ notre espérance ». Les cinq voix se répondent allègrement pour montrer la joie naissante de la parole pleine de foi du psalmiste: « En toi Seigneur j'ai mis mon espoir ».