Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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32 Et il écrivit Mlà sur les pierres le Deutéronome de la loi de Moïse
qu'il avait écrite à la face
Vque celui-ci avait partagée en présence des fils d’Israël.
32 ...
33 Tout Israël,
Vle peuple, ses anciens, ses officiers et ses juges
se tenaient des deux côtés de l’arche,
devant les prêtres qui portaient l’arche de l’alliance de YHWH
Vdu Seigneur ;
les étrangers aussi bien que les fils d’Israël,
une moitié du côté du mont Gerizim
VGarizim, l'autre du côté du mont Ébal
VHébal
selon l’ordre que
Vcomme l'avait ordonné Moïse serviteur de YHWH.
Vdu Seigneur.
Et d'abord, il bénit le peuple d’Israël.
33 ...
34 Puis Josué lut toutes les paroles de bénédiction et de malédiction
suivant tout ce qui est écrit
Vavait été écrit dans le livre de la loi.
34 ...
35 Pas un mot de tout ce que Moïse avait prescrit que n’ait lu Josué,
Vne fut laissé de côté,
mais il lut l'intégralité en présence de toute l’assemblée d’Israël,
des femmes et des petits enfants, et des étrangers qui vivaient au milieu d’eux.
35 ...
1,1–24,33 Épopée sacrée Josué se présente comme une 'épopée sacrée', forme classique de narration des événements dans l’Antiquité. Leur déroulement y est guidé par une série d’interventions directes de Dieu, qui conduit le héros et son peuple (Procédés littéraires Jos 8,1–9), plus ou moins obéissants (Procédés littéraires Jos 8,10–18) et fixe son destin. La présence divine occupe une place toute spéciale dans la narration des hauts faits de la campagne militaire.