Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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26 Josué ne retira pas la main qu’il tenait étendue
Vavait élevée avec le javelot
Vbouclier
jusqu’à ce qu’il eût traité comme anathème
Vque fussent massacrés tous les habitants d’Haï
VAï.
26 ...
27 Les Israélites prirent seulement pour eux
Vfils d'Israël partagèrent entre eux le bétail et le butin de la ville
selon l’ordre de YHWH
Vdu Seigneur qu’il avait prescrit à Josué.
27 ...
28 Josué brûla Haï
Vla ville et en fit pour toujours un monceau de ruines.
28 ...
29 Josué fit pendre à un arbre le roi d’Haï jusqu’au soir, au coucher du soleil
et donna l’ordre de descendre son cadavre de l’arbre
on le jeta à l’entrée de la ville
et on éleva sur lui un grand monceau de pierres qui subsiste jusqu’au présent jour.
29 Il en suspendit aussi le roi au patibule jusqu'au soir et au coucher du soleil.
Ensuite Josué ordonna, et on descendit son cadavre de la croix ;
on le jeta à l'entrée même de la ville,
en élevant sur lui un monceau de pierres qui est demeuré jusqu'au présent jour.
29 ...
1,1–24,33 Épopée sacrée Josué se présente comme une 'épopée sacrée', forme classique de narration des événements dans l’Antiquité. Leur déroulement y est guidé par une série d’interventions directes de Dieu, qui conduit le héros et son peuple (Procédés littéraires Jos 8,1–9), plus ou moins obéissants (Procédés littéraires Jos 8,10–18) et fixe son destin. La présence divine occupe une place toute spéciale dans la narration des hauts faits de la campagne militaire.