Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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3 Ainsi que je t’ai prié de rester à Éphèse (lorsque je me rendais en Macédoine)
afin que tu prescrives
Vnotifies à certains de n’enseigner rien d’étranger,
4 ni de s’attacher à des mythes et à des généalogies sans fin
qui mènent à des débats
V Nesfournissent des questions
plutôt qu'au dessein de Dieu dans la foi,
TRplutôt qu’à l'édification de Dieu dans la foi,
Vplutôt que l'édification de Dieu, qui est dans la foi,
Set non à l'édification dans la foi en Dieu,
1,1–6,21 Introduction →Timothée et Tite
1–20 mon véritable enfant en la foi Le bon combat Timothée est représenté avec une palme de martyr, comme l'inscription latine sur l'arc de cercle en haut du vitrail l'indique. Cette palme a néanmoins un fort air de glaive à deux tranchants, ce qui siérait à Timothée, lui que saint Paul exhorte au « bon combat », avec « foi » et « bonne conscience » (1Tm 1,18-19) en lui confiant dans cette lettre un dépôt de foi indispensable pour la lutte spirituelle. Ainsi jeunesse et détermination caractérisent ce vitrail d'un Timothée qui regardent les fidèles droit dans les yeux et qui doit être combattif.
1,1–6,21 Jésus-Christ notre espérance
Ce motet du compositeur hollandais Jan Pieterszoon
reprend les paroles du Psaume 31. Il convient particulièrement à la permière lettre de Saint Paul à Timothée, car l'Apôtre place celle-ci dès son commencement sous l'adresse de « Jésus-Christ notre espérance ». Les cinq voix se répondent allègrement pour montrer la joie naissante de la parole pleine de foi du psalmiste: « En toi Seigneur j'ai mis mon espoir ».