Sources
- François , Dieu en son royaume, La Bible dans la France d’autrefois (13e-18e ), Paris : Cerf, 1991.
- Bertram (dir.), La Bible imprimée dans l'Europe moderne, actes du colloque international organisé par la Bibliothèque nationale de France et l’Institut d’étude du livre, du 21 au 23 novembre 1991, Paris : BnF, 2000.
MANUSCRITS
0 —— Bibles enluminées
Bibliothèque virtuelle des manuscrits médiévaux CNRS manuscrits, sous licence Creative Commons ICI →
- le chatoyant ms 16e de Valencienne ICI→
- BM 0108 manuscrit Amiens (source AT XIIe s.)
- Bible de Pampelune
- BM Lyon ICI→
La sélection très riche de Wikicommons ICI→
- Bible de Saint Paul-hors-les-Murs, Rome, 870, parchemin, latin (bible carolingienne offerte par Charles le Chauve au Pape Jean VIII) ICI→
Ressources à la Bibliothèque Nationale de France
- Biblia Pentateuchus (Pentateuque dit d’Ashburnham ou de Tours), ca. 427, parchemin, 290 p. 19 miniatures, Bibliothèque nationale de France, Département des Manuscrits, NAL 2334. Réalisé au scriptorium impérial de Rome sur commande de la princesse régente Galla Plcaidia pour l’éducation religieuse de son fils, l’empereur Valentinien III. Le codex le plus important du MA occidental. ICI→
- Bible de Saint Jean d’Acre, (1250 – 1254), Acre, Bibliothèque de l'Arsenal, Paris, Ms-5211, 20 enluminures, enlumineur anonyme ICI→
- Hortus Deliciarum, 12e s. Mansucrit alsacien, encyclopédie chrétienne réalisée entre 1159 et 1175 par Herrade de Landsberg au couvent de Hohenbourg (mont-Saint-Odile). Superbes miniatures aux couleurs vives ICI→ et LÀ→
pour l'Apocalypse : les Beatus sont des manuscrits ibériques enluminés produits du 10e au 12e siècles où sont copiés notamment les Commentaires de l’Apocalypse rédigés au 8e s. par le moine Beatus de Liébana. Plusieurs sont disponibles sur Wikicommons ICI→, LÀ→, LÀ→ et encore LÀ→
1 —— La Bible moralisée
Production
La composition de bibles moralisées s'étale du début du 13e s. jusqu’à la fin du 15e s.
Composition d’une page : { versets bibliques + miniatures + leçons de morale, d’édification, oraisons }
- Les illustrations sont organisées en paires typologiques : le but des créateurs de ses bibles est de donner un sens figuré à chaque passage significatif de la Bible.
- La mise en page est la plupart du temps standardisées : huit images disposées sur deux colonnes, le thème biblique étant placé au-dessus de son interprétation allégorique (exceptions possibles : cas de la BHTF, 6 images sur deux lignes).
Intention et interprétation
L’intention est résolument allégorique, et ces « bibles moralisées » sont les ancêtres des Biblia pauperum.
- Les images des BM peuvent rarement être ramenées à des sources iconographiques plus anciennes : elles sont composées pour remplir les fonctions spécifiques d’une somme allégorique de la Bible.
- Il peut être intéressant d’identifier précisément en commentaire le rapport entre les images et le texte : l’allégorie simple, la tropologie, l’anagogie.
Élement de bibliographie
- John , The Making of the Bibles Moralisées. I : The Manuscripts. II : The Book of Ruth. University Park: Pennsylvania State University Press, 2000.
Lien vers des exemples
- Bible des frères Limbourg, Bible moralisée illustrée par les ICI→ et LÀ→ (enlumineurs du Duc de Berry), 1402- 1404, Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, Français 166 .
- ICI→ , Bible moralisée, (toutes les planches sont illustrées, légendes en latin puis français à déchiffrer; peu de couleur MAIS ex rare de traces de perspective (manière italianisante)
2 — — La Bible historiale
Production
Le premier exemplaire et le modèle du genre fut réalisé par
en 1297. Ce manuscrit originel est aujourd'hui perdu, mais il a été copié, et enrichi au cours des siècles : on en connaît 144 exemplaires. La bible historiale connaitra encore le succès au 16e s. sous forme impriméeIntention et interprétation
C’est une des premières traductions de la Bible en langue vernaculaire (en gros une traduction glosée de la Vulgate de St Jérôme, inspirée de Pierre le Mangeur). C’est donc l’accès à l’Écriture dans une langue vernaculaire qui est l’objet de ce livre et non l’illustration de sa teneur allégorique comme dans le BM. Cependant, le manuscrit original, et les suivants, comportent la plupart du temps des miniatures.
- Selon l’endroit (Paris / Picardie et Nord) où les exemplaires sont produits, la glose s’oriente plutôt vers un contenu historique ou vers un contenu moral...
- Particularité : les épisodes racontés établissent des parallèles avec l’histoire profane : la frontière entre histoire antique et histoire biblique est gommée dans l’unique temps de Dieu. Cette conception est au cœur du succès médiéval de ces ouvrages. Les exemples historiques évoqués peuvent également avoir une valeur pédagogiques édifiantes (globalement peu de spéculation théologique).
- Cette traduction qui conjugue Écritures et commentaires, histoire et scolastique atteint une très grande popularité auprès des laïcs, car est aussi le seul ouvrage biblique en français illustré des 14e et 15e s.
Composition d'une page : { texte en français + glose + éventuellement miniature }
Particularité de l’iconographie de ces bibles, un espace pour l’image se dégage dans l’espace du texte :
- la taille des enluminures augmentent ;
- la lettre ornée disparait au profit de la miniature ;
- l’illustration n’est plus réservée au seul incipit mais multiplication des épisodes ;
- création de thématiques nouvelles et de manière générale, place à la verve et à l’anecdote.
Élement de bibliographie
- Eleonore ICI→ «Les manuscrits de la Bible historiale. Présentation et catalogue raisonné d’une œuvre médiévale »,, Revue électronique du CRH, 2009 (Commentaire artistique des enluminures de ces Bibles § 70-76)
- Eléonore , L’iconographie de la Bible historiale, le corpus du Rilma, Brepols xxx.
Liens vers des exemples
- ICI→ , Bible historiée toute figurée (1301-1400),parchemin, 192 feuillets, 29,5 × 20 cm, BNF, département des manuscrits, Français 9561,
- ICI→ , La Bible historiaux, ou les histoires escolastre dite Bible historiale (1400–1405), Ms 5057-5058,
IMPRIMÉES
3 —— La Biblia pauperum
Production
- elle est produite entre les 12e et 15e s.
- La tradition manuscrite considérable de la Biblia pauperum (Bible des pauvres) commencée au 13e s. fut amplifiée dans la seconde moitié du 15e s. grâce aux nouveaux procédés d’impression en estampes.
- La version latine de la Biblia pauperum en 40 feuilles présente 120 images qu relient l'Ancien et le Nouveau Testament, et a connu au moins 11 éditions en bloc.
- diverses traductions ont été produites. Nous proposons ici des images tirées d
Intention et interprétation
- Contrairement à ce qu'on a longtemps dit, elle n'adresse pas aux illettrés qui recourraient aux images à défaut de pouvoir lire les textes : c'est un genre destiné à un public de clercs. Il expose des rapports complexe de typologie entre AT et NT, préfiguration et accomplissement, selon des analogies parfois subtiles, œuvres d'un compilateur anonyme.
- En tant que manuel d'illustration et d'interprétation bibliques, La Bible des Pauvres est une ressource inestimable pour étudier les diverses formes d'art et de littérature religieux, notamment les manuscrits enluminés, la peinture, les sculptures, les vitraux, les drames médiévaux et la poésie dévotionnelle. C'est aussi un manuel de méditation et de spiritualité.
Composition d'une page : { xxxxx }
- scènes centrales : une scène de la vie du Christ est flanquée de deux scènes de l'Ancien Testament s'y rapportant
- au-dessus et/ou au-dessous : quatre prophètes, dépeignent l'accomplissement de l'Ancien Testament dans le Nouveau.
Variations vernaculaires
L'arrangement du texte et la séquence des illustrations dans la version latine ont été adoptés par les deux éditions de livre en langue allemande, qui simplifièrent les gravures sur bois :
- La première édition en allemand a été co-produite en 1470 dans la ville de Nördlingen par le peintre Friedrich et le menuisier Hans
- En 1471, elle fut copiée par Hans , calligraphe et graveur de Nuremberg, qui omit les hachures et remplaça les paysages de fond par des lignes horizontales unies.
La première édition de la Biblia pauperum à associer des gravures sur bois à du texte imprimé avec des caractères mobiles fut réalisée à Bamberg, dans l'atelier d'imprimerie d'
(un des premiers imprimeurs à publier des ouvrages illustrés avec des gravures sur bois). L'incorporation d'images dans le texte imprimé était à l'origine une tâche très difficile. L'édition de Pfister de la Biblia pauperum mêlait texte et illustration sur une même forme imprimante, rendant ainsi le processus d'impression plus rapide et plus facile. Les gravures sur bois en vinrent donc à remplacer les dessins au crayon sur les ouvrages illustrés destinés à l'édification religieuse ou à des raisons pratiques. Ces illustrations étaient auparavant copiées à la main.
Les images de la Biblia pauperum ont aussi été reprises par diverses autres éditions de la bible en français, ou en anglais
- par exemple dans Les Figures du Vieil Testament et du Nouveau, Paris : Antoine Vérard, 1504 cf. Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, A-1399 (DECIES) ICI→, où nous avons puisé plusieurs planches.
- Biblia pauperum, conteynynge thirty and eight wodecuttes illustrating the liif, parablis, and miraclis offe oure blessid Lord & Saviour Jhesus Crist, etc. ICI→
Liens vers des exemples
des éditions
- impression allemande de 1462-63 coloriée ICI→
impression allemande de 1471 noir et blanc, facsimile, ICI→
Présentation et explication de 50 planches ICI→
- Explications détaillées des planches et de la typologie ICI→
4 —— Les Figures de la Bible, ou « petites bibles »
Production
Ce genre de bible naît au 16e s. et sa production est constante en Europe jusqu’au 18e s. Au départ, ces livres sont conçus par les imprimeurs pour rentabiliser le coût des gravures des grandes bibles illustrées : ils réutilisent des gravures existantes (parfois sauvagement) pour produire une version abrégée de la Bible, organisée autour d’un testament, d’un livre, ou simplement d’un personnage.
Composition d'une page : { gravure ; référence biblique ; glose }
L’histoire sainte se lit essentiellement dans l’image, mais le texte ne disparait pas : l’organisation standard d’une page de Figures comporte trois éléments :
- la gravure
- la référence biblique (sous forme de notation abrégé ou de citation d’un verset;
- une glose, généralement en langue vernaculaire, qui peut être un commentaire en prose, ou un quatrain ou un sixtain.
Cette composition peut être rapprochée de celle des livres d’Emblèmes (motto, gravure, épigramme) qui fleurissent à la même époque.
Intention et interprétations : entre édification et plaisir
Il y a une tension fondamentale dans le public des Figures de la Bible, qui nait de l’ambiguïté de cet objet.
- Par leur format et leurs compositions, elles offrent une somme commode de l’histoire sainte, propice à la mémorisation et à la méditation= public de dévots (cf. fonction de l’image religieuse selon Thomas d'Aquin : mémorisation, pédagogie, incitation à la dévotion, encore très présentes dans les esprits au 16e).
- Mais les gravures sont d’une indéniable qualité esthétique et les épisodes représentés sont parfois incompatible avec une volonté d’édification = plaisir de pure connaissance historique, de récréation des yeux prend de plus en plus d’importance au cours des siècles.
Étant donné que tout choix d’illustration fixe une représentation partielle ou partiale de l’épisode biblique, on peut se demander face à une image donnée si la représentation relève :
- d’une construction théologique (montrer ce qui est à croire, à espérer, à aimer)
- d’une construction esthétique (montrer ce qui est beau ou laid)
- d’une construction historique (ce qu’il faut connaître / ce qu’on peut savoir) : représentation archéologique savante / représentation historique et narrative (la plus courante au 16e s.)
- d’une construction éthique (montrer ce qui à faire, éviter)
- d’une construction critique (réprobation, dénoncer la caducité d’un texte (AT) d’une pratique) : critique de l’économie vétéro- testamentaire, représentation polémique actualisante, etc.
Éléments de bibliographie
- Max , Les Figures de la Bible. Le destin oublié d’un genre littéraire en image, Mélanges de l’école française de Rome, 1994
- Elsa « Entre recréation de l’âme et récréation des yeux : les Figures de la Bible au XVIe siècle », 2012. HAL (consultable en ligne)
Liens vers des exemples
- Historiarum ueteris instrumenti icones ad uiuum expressæ. Vnà cum breui, sed quoad fieri potuit, dilucida earundem expositione, Lyon, 1538, éditeur M. &G. Trechsel, gravures d’après dessin de Hans Holbein le Jeune ; édition de 1538 ICI→ ; édition de 1547 LÀ→ (ajouts de quatrains en français).
- Icones historiarum Veteris Testamenti , ad vivum expressae, extremáque diligentia emendatiores factae, Gallicis in expositione homoeoteleutis, ac versuum ordinibus (qui prius turbati, ac impares) suo numero restitutis, Lyon, 1547, Jean Frellon éditeur, illustrateur Hans Holbein, Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, A-3619 ICI→
- Hortulus animae : Lustgarten der Seelen : Mit schönen lieblichen Figuren, ? Luther, Martin (1483-1546), et Melanchthon Philipp (1497-1560), texte ; Lucas Cranach (1472-1553) ; Meister der Jacobsleiter ; A. W.; M. S.; Hans Brosamer; Georg Rhaw; I H; F S, illustrations, Wittemberg, 1550 21 cm.
- Quadrins historiques de la Bible, Jean de Tournes imprimeur, 1555, Lyon, Bernard Salomon graveur, ICI→
- Biblia ectypa minora, veteris testamenti historias sacras et res maximi momenti exhibentia, 1696, Christophe Weigel éditeur, Damiano Saviotti, Wiliam Binney, John Carter Brown Library, German Collection ICI→
- Figures des histoires de la Saincte Bible, Guillaume Lebé auteur, graveur anonyme, illustrations 17 x 25 cm, Paris, 1670, Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, PET FOL-RA-16 ICI→
- La Saincte Bible contenant le Vieil et le Nouveau Testament, enrichie de plusieurs belles figures, Gérard Jollain & François Campion graveurs, 1630, eau fort & burin, Bibliothèque nationale de France, département Estampes et photographie, 4-RA-41 ICI→
- L'histoire du Vieux et du Nouveau Testament, representée avec des figures & des explications édifiantes, tirées des saints Peres, pour regler les moeurs dans toutes sortes de conditions... dite Bible de Royaumont, Paris, 1671, illustrations Matthaeus Merian reprises de Bible luthérienne de 1630, Fontaine et Le Maistre de Sacy annotateurs, Bibliothèque nationale de France, département Arsenal, FOL-T-515 ICI→
- Voor-bereidselen tot de bybelsche wysheid, en gebruik der heilige en kirklijke historien: uit de alder-oudste gedenkkenissen der Hebreen, Chaldeen, Babyloniers, Egiptenaars, Syriers, Grieken en Romeinen... Door een liefhebber der Joodische oudheden, Goeree, Willem (1635-1711), Amsterdam, Goeree, 1690 ; 2 vols., ill, map, plates (partly fold.) ; 36 cm. (fol.) 43 illustrations par L. Cranach, 3 par Hans Brosamer, 9 par le Meister der Jacobsleiter et les artistes aux monogrammes AW and MS.
- Histoire du Vieux et du Nouveau Testament, David Martin , Amsterdam, 1700, P. Mortier & David van der Plas graveurs, 2 vol. in-fol., avec 424 excellentes gravures ICI→
- Historiae celebriores veteris testamenti iconibus representatae epigrammatibus exornatae, Christophe Weigel éditeur, Jan Luyken (1649-1712) et Caspar Luyken (1672-1708) graveurs, Amsterdam 1708 ICI→
- Figures de la Bible, La Haye, 1728, Pierre de Hondt éditeur, Hoet et Picart graveurs en 1719, 212 estampes eau forte et burin, BNF, déprtement Estampes et photographie, PET FOL-RA-51 ICI→
- Histoire les plus remarquables de l’Ancient et du Nouveau Testament gravées en cuivre par le célèbre Jan Luyken, Amsterdam, 1732, Jean Covens & Corneille Mortier éditieur, Jean Luyken graveur, Bibliothèque nationale de France, département Arsenal, FOL-T-589 ICI→
- Historiæ Biblicæ Veteris et Novi Testamenti : junioribus ad faciliorem eruditionem, senioribus ad vivaciorem memoriam, divini verbi præconibus ad celeriorem reminiscentiam, omnibus ad utilem sanctámque in curiositatem in centum frugiferis foliis exhibitæ, Augsburg, 1757, 100 planches 22x23 cm par Joseph et Johann Klauber graveurs (1700-1768) Augsburg, 1757, 100 planches 22x23 cm par Joseph et Johann Klauber graveurs (1700-1768) ICI→
- Dalziel's Bible Gallery, 1881 gravures de Frederic Leighton Siemon Solomon Frederick Sandys et autres. Gravures sur bois préraphélites : ICI→ et LÀ→ Plus d’info ICI→.
- The Bible panorama, or The Holy Scriptures in picture and story, Foster, 1891, Library of Congress, Washington ICI→
5 —— les Emblèmes bibliques ou Bible allégorisée
Très populaires en leur temps, les livres d'emblèmes rassemblent des illustrations allégoriques accompagnées de textes explicatifs, généralement des morales ou des poèmes.
Production
Ils fleurissent en Europe aux 16e et 17e s. Ils ont plusieurs origines : les bestiaires médiévaux expliquant l'importance des animaux, des proverbes et des fables ; les sources grecques et romaines telles les Fables d'Esope et les Vies de Plutarque.
Composition d'une page
les livres d'emblèmes présentent des signes à trois composantes :
- une image,
- une devise
- un texte expliquant le lien entre l'image et la devise. La longueur du texte va de quelques vers à plusieurs pages en prose.
Liens vers un exemple
- , Francis, 1592-1644, Emblemes Divine and Moral with grotesque illustrations engraved by William Marshall, Boetius à Bolswert (ou Boetius Adamsz Bolswert, Bodius; c. 1585, – late 1633), Londres : J. Williams at the Crowne in St Paul’s Churchyard, 1635, 381 p. illus. 16 cm.
- Lien vers uns très grande compilation d'emblèmes bibliques ICI→
Dans l'ouvrage de Quarles, chaque « emblème » consiste en la paraphrase d'un passage de l'Écriture, exprimé dans un langage orné et métaphorique, suivie de passages des Pères chrétiens et se terminant par une épigramme de quatre lignes.
6 —— Bibles pour enfants
Bible hiéroglyphique
- Hieroglyphic Bible, 1794 ICI→
Bible illustrée
Voir les travaux de Ruth Bottigheimer
- Bible illustrée et commentée par Foster ICI→