Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Job continua de proférer son discours et dit :
1 ...
1 Job prenant encore de nouveau sa parabole, dit :
2 Qui me rendra comme les mois d’autrefois comme aux jours où Dieu me gardait ?
2 ...
2 — Qui m'accordera que je sois comme dans les anciens mois, comme aux jours où Dieu me gardait ?
3 Quand sa lampe brillait sur ma tête, et qu'à sa lumière je marchais dans les ténèbres,
3 ...
4 comme j'étais au jour de mon hiver, dans l'initimité de Dieu sur ma tente
4 ...
4 comme j'étais au jour de mon adolescence, quand secrètement Dieu était dans ma tente,
5 quand Shaddaï était encore avec moi et mes fils autour de moi
5 ...
5 quand le Tout-Puissant était avec moi, et qu'autour de moi étaient mes enfants,
6 quand mes pas baignaient dans la crême et le rocher faisait jaillir pour moi des flots d’huile
6 ...
6 quand je lavais mes pieds dans le beurre, et que le rocher répandait pour moi des ruisseaux d’huile.
7 Lorsque je sortais à la porte de la ville sur la place je faisais préparer mon siège
7 ...
7 quand je m'avançais vers la porte de la cité, et qu'on me préparait sur la place publique un siège ?
8 les jeunes hommes me voyaient et se cachaient, les anciens, se levant, se tenaient debout.
8 ...
9 Les princes retenaient leurs paroles et mettaient la main sur leur bouche
9 ...
9 Les princes cessaient de parler et posaient le doigt sur leur bouche.
10 la voix des chefs se cachait leur langue collait à leurs palais
10 ...
10 Les chefs retenaient leurs voix, leur langue collait à leur palais,
11 car une oreille
VL'oreille qui entendaitM et me proclamait heureux, un
Vet l'œil voyaitM et me rendait témoignage,
11 ...
12 car je sauvais
Vj'avais délivré le pauvre qui suppliait et l’orphelin qui n'avait pas de secours.
12 ...
13 La bénédiction du mourant venait sur moi, je réjouissais
Vconsolais le cœur de la veuve.
13 ...
14 Je revêtais la justice et elle me revêtait, mon droit
Vjugement était comme mon manteau et mon turban
Vdiadème.
14 ...
15 J’étais les yeux de l’aveugle c'était moi les pieds du boiteux
15 ...
15 J’étais l'œil pour l’aveugle, le pied du boiteux.
16 J’étais un père pour les pauvres, je menais Vavec grande diligence le procès de celui que je connaissais pas.
16 ...
17 Je brisais les mâchoires de l’injuste et de ses dents j'arrachais la proie.
17 ...
18 Je disais : — Je mourrai dans mon nid
VC'est dans mon petit nid que je mourrai, et comme le sable
Vpalmier je multiplierai mes jours.
18 ...
19 Mes racines seront ouvertes vers les eaux la rosée passera la nuit dans mes branches
19 ...
19 Ma racine s'étend le long des eaux et la rosée s'attardera sur ma moisson.
20 Ma gloire sera nouvelle avec moi et mon arc se renouvellera dans ma main
20 ...
20 Ma gloire sera toujours renouvelée et mon arc dans ma main sera placé.
21 On m’écoutait et on attendait on se taisait pour mon conseil
21 ...
21 Ceux qui m'écoutaient attendaient la sentence ; dans l'attente, ils se taisaient pour mon conseil,
22 Après ma parole on ne répliquait pas sur eux se déversait mon discours
22 ...
22 à mes mots, ils n'osaient rien ajouter : sur eux distillait mon discours,
23 on m’attendait
Vils m'attendaient comme la pluie, on ouvrait la
Vet ouvraient leur bouche comme pour l'averse Vtardive.
23 ...
24 Je riais sur eux ils ne croyaient pas la lumière de mon visage on ne la faisait pas tomber
24 ...
24 Si parfois je riais sur eux, ils ne croyaient pas, la lumière de mon visage ne tombait pas à terre.
25 Je choisissais leur chemin je m'asseyais en tête
je siégeais comme un roi dans sa troupe comme celui qui console les endeuillés.
25 ...
25 Si je voulais aller vers eux, je m'asseyais en tête,
et, lorsque j`étais assis comme un roi, entouré de son armée, j`étais toutefois le consolateur des endeuillés.
30,1 Et maintenant rient sur moi des plus jeunes que moi dont je méprisais les pères les mettant parmi les chiens de mon troupeau
1 ...
1 Mais maintenant me raillent les plus jeunes, dont je n'aurais pas daigné mettre les pères avec les chiens de mon troupeau.
30,2 même la force de leur bras qu'était-elle pour moi ? la vigueur périssait pour eux
2 ...
2 La force de leurs mains ne comptait en rien pour moi et leur vie même était considérée comme indigne,
30,3 Desséchés par la misère et la faim
ils rongaient la terre desséchée depuis longtemps dévastation et désolation
3 ...
3 stériles par la misère et la faim,
eux qui rongeaient dans une solitude desséchée, calamité et misère,
30,4 Ils cueillaient l'arroche sur les buissons la racine des genêts était leur pain
4 ...
4 ils mangeaient des herbes et les écorces des arbres, la racine des genièvres était leur provision,
30,5 Ils étaient chassés de la communauté on criait sur eux comme des voleurs
5 ...
5 eux qui arrachaient ces choses dans les vallées, et qui, lorsqu'ils en trouvaient quelqu'une, y accouraient en criant.
30,6 Ils habitaient dans les torrents à sec les creux de la terre et des rochers
6 ...
6 Ils habitaient dans des déserts auprès des torrents, dans les cavernes de la terre, ou sur les graviers,
30,7 ils criaient parmi les rochers ils se rassemblaient sous les ronces
7 ...
7 qui au milieu de semblable choses se réjouissaient et trouvaient des délices à être sous les ronces.
30,8 fils de fous et même fils d'hommes sans nom, ils sont frappés par le pays
8 ...
8 Fils de fous et d'ignobles, ils ne paraissant pas du tout sur la terre.
30,9 Et maintenant je suis leur chanson et je suis leur discours
9 ...
9 Maintenant je suis l'objet de leurs cantiques, je suis devenu pour eux une fable !
30,10 Ils m'ont en horreur ils s'écartent de moi ils ne détournent pas le crachat de mon visage
10 ...
10 Ils m'ont en horreur, ils fuient loin de moi, ils ne craignent pas de me cracher au visage
30,11 Comme ma corde est détendue et il m'humilie ils rejettent de moi tout frein
11 ...
11 car il a ouvert son carquois et m'a affligé, il a posé un frein dans ma bouche.
30,12 Ils se lèvent à ma droite
ils poussent mon pied ils tracent vers moi un chemin de détresse
12 ...
12 À la droite de mon lever, mes malheurs ont aussitôt surgi ;
ils ont renversé mes pieds et m'ont oppressé, comme sous des flots, dans leurs sentiers.
30,13 Ils ont barré mes sentiers ils travaillent à ma ruine ils n'ont pas d'aide
13 ...
13 Ils ont barré mes chemins, ils m'ont tendu un piège et ils ont prévalu, et il n'y a eu personne pour me porter secours.
30,14 Comme par une large brêche ils arrivent par la dévastation ils déferlent
14 ...
14 Comme par un mur brisé et une porte ouverte, ils ont fondu sur moi et se sont précipités sur mes misères.
30,15 Les terreurs se tournent contre moi, ma noblesse chasse comme le vent, mon salut est passé comme un nuage
15 ...
15 Je suis réduit au néant, tu as emporté comme le vent ce qui m'est cher, mon salut est passé comme un nuage.
30,16 Et maintenant mon âme s'écoule en moi les jours d’affliction m’ont saisi
16 ...
16 Et maintenant mon âme se flétrit au dedans d'elle-même, les jours d’affliction me possèdent,
30,17 La nuit perce mes os de sur moi, mes rongeurs ne se reposent pas
17 ...
17 la nuit mes os sont perforés de douleur et ceux qui me dévorent ne dorment pas.
30,18 Dans la multitude de
GAvec grande puissance mon vêtement s'est déguisé
Gil a pris possession de mon vêtement, comme le col de ma tunique il me serre
Gm'a entouré.
18 Par leur multitude mon vêtement se consume, et ils me ceignent comme un col de tunique.
18 ...
30,19 Il m’a jeté dans la boue je suis comme poussière et cendre
19 ...
19 Je suis comparable à la boue, semblable à la poussière et à la cendre.
30,20 Je crie vers toi et tu ne me réponds pas je me tiens debout et tu me considères
20 ...
20 Je crie vers toi et tu ne m'écoutes pas, je me tiens debout et tu ne me regardes pas.
30,21 Tu deviens cruel envers moi par la force de ta main tu me brimes
21 ...
21 Tu deviens cruel envers moi, par la dureté de ta main tu t'opposes à moi,
30,22 Tu me prends sur le vent tu me fais chevaucher tu dissous mon succès
22 ...
22 tu m'as élevé, et me posant comme sur le vent, tu m'as écrasé avec force.
30,23 Car je le sais tu me mènes à la mort à la maison préparée pour tout vivant
23 ...
23 Car, je le sais, tu me livreras à la mort, là où est préparée une maison pour tous les vivants.
30,24 Cependant il ne tend pas la main dans la ruine quand dans son désastre pour eux un šûa‘.
24 ...
24 Cependant tu n'étends pas ta main vers leur détresse, mais s'ils tombent, tu les sauveras.
30,25 N’avais-je pas pleuré pour celui dont les jours sont durs ? Mon âme ne s’est-elle pas affligée pour le pauvre ?
25 ...
25 Je pleurais jadis sur celui qui était affligé, mon âme était compatissante envers le pauvre.
30,26 Quand j'attendais le bonheur est venu le malheur
j'espérais la lumière la ténèbre est venue
26 ...
26 J'attendais de bonnes choses, de mauvaises sont venues à moi
j'espérais la lumière, les ténèbres se sont répandues.
30,27 Mes entrailles bouillonnent et ne se taisent pas les jours d’affliction m'ont atteint
27 ...
27 Mes entrailles bouillonnent sans le moindre repos, les jours d’affliction m'ont atteint.
30,28 Je marche noirci non par le soleil je me lève dans l'assemblée je crie
28 ...
28 Je marchais triste, sans fureur ; me dressant, au milieu de la foule, j'ai crié.
30,29 Je suis devenu frère des chacals compagnon des filles de l’autruche
29 ...
29 Je suis devenu frère des dragons, compagnon des autruches.
30,30 Ma peau noircit sur moi, mes os brûlent de fièvre.
30 ...
30 Ma peau est devenue noire, et mes os se sont desséchés dans une ardeur brûlante.
30,31 Ma cithare n'est que pour une lamentation ma flute pour la voix des pleurs
31 ...
31 Ma cithare s'est changée en plainte funèbre, mon instrument en voix de pleurs.
31,1 J’avais fait une alliance avec mes yeux pourquoi aurais-je examiné une vierge ?
1 ...
1 J’avais fait une alliance avec mes yeux pour ne pas même penser à une vierge.
31,2 Quelle part de Dieu d’en haut ? [Quel] héritage de Shaddaï des hauteurs ?
2 ...
2 Car autrement quelle part d'en-haut Dieu aurait-il pour moi et quel héritage des cieux, le Tout-Puissant ?
31,3 La ruine n’est-elle pas pour le méchant et le malheur pour les faiseurs d’iniquité ?
3 ...
3 La perdition n’est-elle pas pour l'inique et la ruine pour les faiseurs d'injustices ?
31,4 Ne considère-t-il pas lui mes voies ? ne compte-t-il pas tous mes pas ?
4 ...
31,5 Si j’ai marché avec
Vdans la vanité, si mon pied s'est hâté dans la tromperie,
5 ...
31,6 qu'il me pèse dans les balances de la justice
Vune juste balance et Dieu connaîtra mon intégrité.
Vma simplicité.
6 ...
31,7 Si mon pas s'est écarté du chemin
Vde la voie
et si mon cœur a suivi mes yeux, et si une souillure s’est attachée à mes mains,
7 ...
31,8 que je sème et qu'un autre mange que mes rejetons soient déracinés
8 ...
8 que je sème et qu'un autre mange, que ma descendance soit éradiquée.
31,9 Si mon cœur a été séduit par une femme, si je me suis mis en embuscade
Vj'ai dressé des embûches à la porte de mon compagnon
Vami,
9 ...
31,10 que ma femme se mette à moudre pour un autre que d'autres s'inclinent sur elle
10 ...
10 que ma femme se prostitue pour un autre, que d'autres couchent avec elle !
31,11 car c’est là une abomination une faute [passible] des juges
11 ...
11 Car c'est là un sacrilège, une iniquité très grande.
31,12 car c'est un feu qui dévore jusqu’à la ruine, qui déracine tout mon revenu.
12 ...
12 C'est un feu qui dévore jusqu'à la perdition et qui déracine tout ce qui germe.
31,13 Si j’ai rejetté le droit de mon serviteur ou de ma servante quand ils étaient en litige avec moi
13 ....
13 Si j’ai dédaigné d'aller en jugement avec mon serviteur et ma servante quand ils étaient en litige avec moi,
31,14 Que ferai-je quand Dieu se lèvera ? Quand il visitera, que répondrai-je ?
14 ...
14 que ferai-je lorsque Dieu se lèvera pour juger ? Quand il m'interrogera, que lui répondrai-je ?
31,15 Celui qui m’a fait dans le ventre ne l’a-t-il pas fait lui aussi ? et n'est-ce pas le même qui nous a créés dans le sein ?
15 ...
15 Celui qui m’a fait dans l'utérus, n'est-il pas celui qui l'a fait lui aussi, et le même qui m'a formé dans le matrice ?
31,16 Si j’ai refusé aux pauvres ce qu’ils désiraient,
Vvoulaient, et si j’ai fait languir les yeux de la veuve,
16 ...
31,17 si j’ai mangé seul mon morceau de pain, et si que l’orphelin n'en a pas mangé
17 ...
31,18 Car depuis mon enfance je l'ai élevé comme un père, depuis le ventre de ma mère je l'ai guidée.
18 ...
18 car depuis mon enfance la pitié a grandi avec moi, elle est sortie avec moi du ventre de ma mère,
31,19 Si j’ai vu un mourant sans vêtements un pauvre sans couverture
19 ...
19 si j’ai détourné mes yeux de celui qui périssait faute de vêtements, et du pauvre dépourvu même de couverture,
31,20 si ses reins ne m'ont pas béni, s'il ne s'est pas réchauffé de la toison des mes moutons
20 ...
20 si ses reins ne m'ont pas béni, et s'il ne s'est pas réchauffé avec la toison de mes brebis,
31,21 si j’ai levé la main contre un orphelin parce que je me voyais une aide à la porte
21 ...
21 si j’ai levé la main sur l'orphelin, quand je me voyais supérieur à la porte,
31,22 que mon épaule se détache du tronc, que mon bras soit arraché de l’humérus.
22 que mon épaule tombe séparée de sa jointure, et que mon bras avec tous mes os soit entièrement brisé :
31,23 Car le châtiment de Dieu m'épouvante devant sa majesté je ne peux rien
23 ...
23 car j'ai toujours craint Dieu comme des flots agités au-dessus de moi et je ne peux pas supporter son poids.
31,24 Si j’ai mis dans l’or mon assurance si j’ai dit à l’or pur : — Ma confiance !
24 ...
24 Si j’ai pensé que l’or était ma force, si j’ai dit à l’or pur : — Ma confiance !
31,25 si je me suis réjoui de la grandeur de ma force de la puissance de ma main
25 ...
25 si je me suis réjoui de toutes mes richesses, de ce que ma main avait obtenu beaucoup,
31,26 si j'ai vu que le soleil brillait la lune précieuse qui allait
26 ...
26 si j'ai vu que le soleil brillait, la lune qui allait admirablement,
31,27 si mon cœur a été séduit
Vs'est livré à la joie en secret, si ma main a embrassé ma bouche,
27 ...
31,28 cela aussi est faute [passible] des juges j’aurais renié le Dieu Très-Haut
28 ...
28 ce qui est une iniquité très grande, un reniement du Dieu Très-Haut.
31,29 Si je me suis réjoui de la ruine de mon ennemi si j’ai exulté quand le malheur l’a trouvé
29 ...
29 Si je me suis réjoui de la ruine de celui qui me haïssait, si j’ai exulté parce qu'un malheur lui survenait,
31,30 je n’ai pas laissé mon palais pécher en demandant avec serment sa mort
30 ...
30 je n’ai pas laissé mon palais pécher en souhaitant la malédiction de son âme.
31,31 les gens de ma tente ne disaient-ils pas : Qui trouvera celui qui n'a pas été rassasié de sa viande ?
31 ...
31 Si les hommes de ma tente n'ont pas dit : — Qui nous donnera de sa chair, pour que nous soyons rassasiés ?
31,32 l’étranger ne passait pas la nuit dehors, j'ouvrais mes portes à la route.
32 ...
32 le voyageur n'est pas resté dehors, ma porte était ouverte aux passants.
31,33 Si j’ai couvert comme un homme mes fautes si j'ai caché en mon sein mes péchés
33 ...
33 Si j’ai couvert comme un homme mon péché, si j'ai scellé en mon sein mon iniquité,
31,34 parce que j'avais peur de la foule nombreuse que le mépris des familles me terrifiait
je me taisais et ne passait pas la porte
34 ...
34 si j'ai eu peur de la foule nombreuse, et si le mépris des proches me terrifiait,
si je n'ai pas plutôt gardé le silence sans sortir de la porte :
31,35 Qui me donnera quelqu'un qui m'écoute ? voici mon tav, que Shaddaï me réponde ! Que mon adversaire écrive aussi un libelle !
35 ...
35 qui me donnera quelqu'un qui m'écoute afin que le Tout-Puissant entende mon désir et que celui qui juge écrive lui-même un libelle
31,36 Ne le porterai-je pas sur mon épaule ? je le ceindrai comme une couronne
36 ...
36 pour que je le porte sur mon épaule et que je le ceigne comme ma couronne !
31,37 je lui déclarerai le nombre de mes pas comme un prince je m’approcherai de lui
37 ...
37 À chacun de mes pas j'en prononcerai les paroles, je le présenterai comme à un prince.
31,38 Si ma terre crie contre moi si ses sillons pleurent ensemble
38 ...
38 Si ma terre crie contre moi, si ses sillons pleurent avec elle,
31,39 si j’ai mangé ses produits sans argent si j'ai respiré l'âme de ses maîtres
39 ...
39 si j’ai mangé ses fruits sans argent, si j'ai affligé l'âme de ses agriculteurs,
31,40 que sortent des ronces au lieu du froment de l’ivraie au lieu de l'orge
Fin des paroles de Job
40 ...
40 que pour froment me poussent des ronces et pour orge des épines !
Ici finissent les mots de Job.