La Bible en ses Traditions

Galates 3,21–27

Byz V TR Nes
S

21 La Loi est-elle donc contre les promesses [de Dieu]

Byz V TRde Dieu ? Loin de là !

Car si une loi avait été donnée pouvant

Vqui pût vivifier,

vraiment la justice viendrait  | dans | de |

Byz V TRde la Loi ;

21 ...

22 mais l’Écriture a tout enfermé sous le péché

afin que la promesse fût donnée en vertu de la foi de Jésus Christ

VJésus-Christ à ceux qui croient.

22 ...

23 Or avant que vînt la foi

c'est sous la Loi que nous étions gardés Nesétant enfermés en vue de la

Vcette foi qui devait être révélée :

23 ...

24 de sorte que la Loi a 

Vainsi la Loi a-t-elle été notre pédagogue jusqu'au

Ven Christ

pour que nous soyons justifiés en vertu de la foi ;

24 ...

25 mais la foi étant venue

Vquand la foi arrive, Vfini, nous ne sommes plus sous le pédagogue !

25 ...

26 En effet, vous êtes tous fils de Dieu par la foi, dans le Christ Jésus ;

26 ...

27 vous tous, en effet, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu le Christ :

27 ...

Réception

Arts visuels

13–29 Le Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi Allégorie de l'Ancien et du Nouveau Testament 

La Loi et la croix

Lucas Cranach l'Ancien (1472-1553), La Loi et la grâce (huile sur bois, 1529), 72 x 88,5 cm, O10732

Galerie Nationale, Prague (République tchèque) © Domaine public→

Au centre de cette peinture didactique, l'Homme livré à lui-même hésite entre deux personnages symboliques, un prophète de l’Ancien Testament et Jean le Baptiste à l'aube du Nouveau.

Tous deux pointent vers la croix, source de salut : seule la foi en Jésus qui a triomphé de la mort par la résurrection permettra à l’homme d'être sauvé. Elle domine de haut le serpent de bronze au milieu du campement des Israélites, à gauche en arrière plan, qui ne faisait que l'annoncer.

 La partie gauche du tableau retrace le péché originel et le don de la Loi à Moïse sur le mont Sinaï ; la partie droite figure le le Christ debout devant son tombeau, et face au couple pécheur de gauche, l'Agneau innocent, et enfin Marie sur le mont Sion recevant le divin Enfant du Ciel, pure grâce à accueillir. (Cf. le commentaire de  Matthew D. Rosebrock→).