Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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16 or les
Vles promesses ont été faites
Vdites « à Abraham et à sa descendance » ;
on
Vil ne dit pas : « — Et à ses descendants », comme au sujet de plusieurs
mais comme au sujet d'un seul :
« — Et à ta descendance », qui est le Christ.
16 ...
17 Or je dis ceci :
— Un testament validé
Vratifié Byz TR Nesd'avance par DieuByz TR en Christ,
une Loi survenue
Vqui a été faite quatre cent trente ans après ne l'annule pas au point d'abolir la promesse
17 ...
18 car si c'était de la Loi que venait l'héritage ce ne serait plus de la promesse,
or Abraham, c’est bien par une promesse que Dieu lui en a fait la grâce !
Vle lui a donné !
18 ...
13–29 Le Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi Allégorie de l'Ancien et du Nouveau Testament
Au centre de cette peinture didactique, l'Homme livré à lui-même hésite entre deux personnages symboliques, un prophète de l’Ancien Testament et Jean le Baptiste à l'aube du Nouveau.
Tous deux pointent vers la croix, source de salut : seule la foi en Jésus qui a triomphé de la mort par la résurrection permettra à l’homme d'être sauvé. Elle domine de haut le serpent de bronze au milieu du campement des Israélites, à gauche en arrière plan, qui ne faisait que l'annoncer.
La partie gauche du tableau retrace le péché originel et le don de la Loi à Moïse sur le mont Sinaï ; la partie droite figure le le Christ debout devant son tombeau, et face au couple pécheur de gauche, l'Agneau innocent, et enfin Marie sur le mont Sion recevant le divin Enfant du Ciel, pure grâce à accueillir. (Cf. le commentaire de Matthew D. Rosebrock→).