La Bible en ses Traditions

Galates 3,16–20

Byz V TR Nes
S

16 or les

Vles promesses ont été faites

Vdites « à Abraham et à sa descendance » ; 

on

Vil ne dit pas : « — Et à ses descendants », comme au sujet de plusieurs

mais comme au sujet d'un seul :

« — Et à ta descendance », qui est le Christ.

16 ...

17 Or je dis ceci :

— Un testament validé

Vratifié Byz TR Nesd'avance par DieuByz TR en Christ,  

une Loi survenue

Vqui a été faite quatre cent trente ans après ne l'annule pas au point d'abolir la promesse 

17 ...

18 car si c'était de la Loi que venait l'héritage ce ne serait plus de la promesse,

or Abraham, c’est bien par une promesse que Dieu lui en a fait la grâce !

Vle lui a donné !

18 ...

19 Pourquoi donc la Loi ?

C'est à cause des transgressions qu'elle fut ajoutée

Vétablie 

jusqu’à ce que vînt la descendance à qui la promesse avait été faite ;

elle fut

édictée par le ministère

Vrédigée par des anges au moyen d’un médiateur ;

19 ...

20 or un seul parti n'a pas besoin de médiateur 

et Dieu est seul...

20 ...

Réception

Arts visuels

13–29 Le Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi Allégorie de l'Ancien et du Nouveau Testament 

La Loi et la croix

Lucas Cranach l'Ancien (1472-1553), La Loi et la grâce (huile sur bois, 1529), 72 x 88,5 cm, O10732

Galerie Nationale, Prague (République tchèque) © Domaine public→

Au centre de cette peinture didactique, l'Homme livré à lui-même hésite entre deux personnages symboliques, un prophète de l’Ancien Testament et Jean le Baptiste à l'aube du Nouveau.

Tous deux pointent vers la croix, source de salut : seule la foi en Jésus qui a triomphé de la mort par la résurrection permettra à l’homme d'être sauvé. Elle domine de haut le serpent de bronze au milieu du campement des Israélites, à gauche en arrière plan, qui ne faisait que l'annoncer.

 La partie gauche du tableau retrace le péché originel et le don de la Loi à Moïse sur le mont Sinaï ; la partie droite figure le le Christ debout devant son tombeau, et face au couple pécheur de gauche, l'Agneau innocent, et enfin Marie sur le mont Sion recevant le divin Enfant du Ciel, pure grâce à accueillir. (Cf. le commentaire de  Matthew D. Rosebrock→).