Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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13 Je vous écris, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le malin.
Je vous écris
Sai écrit, petits enfants, parce que vous avez connu le Père.
13 Je vous écris, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le malin.
14 Je vous ai écrit, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts et que la parole de Dieu demeure en vous et que vous avez vaincu le malin.
14 Je vous ai écrit, petits enfants, parce que vous avez connu le Père.
Je vous ai écrit, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts et que le verbe
Nesla parole de Dieu demeure en vous et que vous avez vaincu le malin.
15 N’aimez pas le monde ni ce qui est dans le monde :
si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui
16 car tout ce qui est dans le monde
la concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux et l’orgueil de la vie
ne vient pas du Père mais du monde.
17 Le monde passe et sa concupiscence aussi
mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.
16s Les trois concupiscences En peignant cette scène d'entremise, pensait-il aux trois concupiscences évoquées par saint Jean dans sa première épître ?
À gauche, les deux mains de l'homme, l'une posée presque comme des griffes sur l'épaule de la jeune femme, l'autre, largement ouverte pour se saisir du verre posé devant lui, semblent exprimer la puissance du désir. Au centre, la jeune femme à la large gorge blanche pose sur l'homme derrière elle un regard significatif. À droite, la bourse, les bijoux et pièces de monnaie de la vieille entremetteuse, qui laisse apparaitre sa poitrine, peuvent illustrer ce « désir de la vie », amour des richesses et de la sensualité.
La nature morte (des abricots ou des pêches évoquant la sensualité ?), les cartes à jouer, la montre rappelant la fuite du temps, les bijoux ou encore les pièces de monnaie sont autant de symboles de la vanité du monde : « le monde passe et sa concupiscence aussi » (1Jn 2,17) ...