Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
Pour nous apporter votre aide, cliquer ici
5 et telle est l'annonce que nous avons entendue de lui et que nous vous annonçons :
Dieu est lumière et de ténèbres, en lui, il n’y a aucunes.
5 ...
6 Si nous disons que nous sommes en communion avec lui et marchons dans les ténèbres
nous mentons et ne faisons pas la vérité ;
6 ...
7 mais si c'est dans la lumière que nous marchons comme lui-même est dans la lumière
nous sommes en communion les uns avec les autres
et le sang de Jésus-Christ
V NesJésus son Fils nous purifie de tout péché.
7 ...
8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché
nous nous séduisons nous-mêmes et la vérité n’est pas en nous ;
8 ...
9 si nous confessons nos péchés
il est fidèle et juste pour nous remettre nos péchés
et nous purifier de toute iniquité ;
9 ...
10 si nous disons que nous n'avons pas péché
nous en faisons un menteur et son verbe n’est pas en nous.
10 ...
2,1 Mes petits enfants je vous écris ces choses afin que vous ne péchiez pas
et
Vet même si quelqu’un a péché
nous avons pour avocat auprès du Père Jésus-Christ le juste :
1 ...
2,2 il est lui-même propitiation pour nos péchés
et pas seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier !
2 ...
2,3 Et en ceci nous savons que nous le connaissons :
si nous gardons ses commandements.
3 ...
2,4 Celui qui dit : — Je l'ai connu,
Vqu'il l'a connu et qui ne garde pas ses commandements
est un menteur : en lui n’est pas la vérité ;
4 ...
2,5 mais celui qui garde sa parole
Vson verbe
en lui l’amour
Vla charité de Dieu est vraiment parfait
Vparfaite ;
en ceci nous connaissons que nous sommes en lui :
5 ...
2,6 qui dit demeurer en lui
doit, lui-même aussi, marcher comme celui-là a marché.
6 ...
2,7 Très chers
NesBien-aimés
Byz TRFrères ce n’est pas un commandement nouveau que je vous écris
c’est un commandement ancien que vous avez reçu dès le commencement
ce commandement ancien c’est le verbe que vous avez entendu
Byz TRavez entendu depuis le début.
7 ...
2,8 D’un autre côté c’est un commandement nouveau que je vous écris
lequel s’est vérifié en lui et en vous
car les ténèbres se dissipent et déjà brille la véritable lumière.
8 ...
2,9 Celui qui dit être dans la lumière et qui hait son frère
est encore dans les ténèbres.
9 ...
2,10 Celui qui aime son frère
demeure dans la lumière et il n’y a en lui aucun sujet de chute.
10 ...
2,11 Mais celui qui hait son frère
est dans les ténèbres ; il marche dans les ténèbres sans savoir où il va
parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux.
11 ...
2,12 Je vous écris petits enfants parce que vos péchés vous sont remis à cause de son nom.
12 ...
2,13 Je vous écris, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le malin.
Je vous écris
Sai écrit, petits enfants, parce que vous avez connu le Père.
13 Je vous écris, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous écris, jeunes gens, parce que vous avez vaincu le malin.
2,14 Je vous ai écrit, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts et que la parole de Dieu demeure en vous et que vous avez vaincu le malin.
14 Je vous ai écrit, petits enfants, parce que vous avez connu le Père.
Je vous ai écrit, pères, parce que vous avez connu celui qui est dès le commencement.
Je vous ai écrit, jeunes gens, parce que vous êtes forts et que le verbe
Nesla parole de Dieu demeure en vous et que vous avez vaincu le malin.
2,15 N’aimez pas le monde ni ce qui est dans le monde :
si quelqu’un aime le monde, l’amour du Père n’est pas en lui
2,16 car tout ce qui est dans le monde
la concupiscence de la chair, la concupiscence des yeux et l’orgueil de la vie
ne vient pas du Père mais du monde.
2,17 Le monde passe et sa concupiscence aussi
mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.
2,18 Mes petits enfants, c’est la dernière heure.
Comme vous avez appris que l’antéchrist
Nesqu'un antéchrist doit venir
aussi y a-t-il maintenant plusieurs antéchrists :
par là nous connaissons que c’est la dernière heure.
2,19 Ils sont sortis du milieu de nous mais ils n’étaient pas des nôtres
car s’ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous
mais ils en sont sortis afin qu’il soit manifeste que tous ne sont pas des nôtres.
2,20 Pour vous, c’est du Saint que vous avez reçu l’onction
et tous, vous avez connu.
Byz V TRet vous avez connu toute chose.
20 ...
2,21 Je vous ai écrit, non que vous ne connaissiez pas la vérité
mais parce que vous la connaissez
et qu’aucun mensonge ne vient de la vérité.
2,22 Qui est le menteur
sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ?
Celui-là est l’antéchrist qui nie le Père et le Fils.
2,23 Quiconque nie le Fils n’a pas non plus le Père
celui qui confesse le Fils a aussi le Père.
Byz∅
2,24 Pour vous
Byz TRPour vous donc, que ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous.
Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous
vous demeurez aussi dans le Fils et dans le Père.
2,25 Et la promesse que lui-même nous a faite est celle-ci : la vie éternelle !
2,26 Ces choses, je vous les ai écrites à propos de ceux qui vous séduisent ;
2,27 pour vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous
et vous n’avez pas besoin que personne vous enseigne
mais ainsi que la même
V Nesson onction vous enseigne en toutes choses
(cet enseignement est véritable et
V(et c'est vrai et ce n’est pas un mensonge)
ainsi qu’elle vous a enseignés, demeurez en lui.
27 ...
2,28 Et maintenant, mes petits enfants, demeurez en lui
afin que, lorsqu’il paraîtra
Vsera apparu, nous ayons de l’assurance
Vconfiance
et que nous ne soyons pas à son avènement rejetés loin de lui avec confusion
Vne soyons pas confondus, loin de lui, à son avènement.
2,16s Les trois concupiscences En peignant cette scène d'entremise, pensait-il aux trois concupiscences évoquées par saint Jean dans sa première épître ?
À gauche, les deux mains de l'homme, l'une posée presque comme des griffes sur l'épaule de la jeune femme, l'autre, largement ouverte pour se saisir du verre posé devant lui, semblent exprimer la puissance du désir. Au centre, la jeune femme à la large gorge blanche pose sur l'homme derrière elle un regard significatif. À droite, la bourse, les bijoux et pièces de monnaie de la vieille entremetteuse, qui laisse apparaitre sa poitrine, peuvent illustrer ce « désir de la vie », amour des richesses et de la sensualité.
La nature morte (des abricots ou des pêches évoquant la sensualité ?), les cartes à jouer, la montre rappelant la fuite du temps, les bijoux ou encore les pièces de monnaie sont autant de symboles de la vanité du monde : « le monde passe et sa concupiscence aussi » (1Jn 2,17) ...